Phobie, quand tu nous tiens...

Phobie, phobie, quand tu nous tiens, tu nous tiens bien !

Elle nous fait tellement peur, qu’on a peur de la soigner…

Quand une phobie nous tient, elle nous tient bien. Elle nous tient à ce point qu’on a même peur de la regarder, même peur d’en parler… du coup, elle nous tient tellement bien qu’on a peur de la soigner. Et on laisse le temps passer. Et les choses en général ne font qu’empirer.

Nous nous retrouvons donc avec deux problèmes à résoudre au lieu d’un. Le premier, c’est la phobie en question et le second, c’est la peur toujours plus grande qu’on a de cette phobie.

C’est compliqué…

En apparence oui mais en fin de compte, c’est beaucoup plus simple qu’il n’y parait. En effet, à partir du moment où on accepte que tout ceci est « normal », bien que cela soit fortement désagréable, on peut enfin avancer.

Une personne vient de m’appeler pour régler une phobie. On discute un peu et elle me fait remarquer que ce qui l’a retenue jusqu’à maintenant d’aborder la chose pour la soigner, c’est la peur d’en parler. Je lui fais remarquer que nous discutons depuis près d’une demi-heure et qu’à aucun moment je n’ai prononcé des mots « interdits ». Elle constate que c’est le cas en effet. 

Et ceci en va de même pour une séance au cabinet. A aucun moment la personne qui vient consulter ne devra parler plus de ce qu’elle éprouve que ce qu’elle a envie d’en parler. C’est elle qui décide. Elle n’est d’ailleurs même pas tenue de le faire car finalement, en parler n’apporte rien.

Vous pouvez donc venir au cabinet sans vous inquiéter de devoir dire ou subir quoi que ce soit en rapport à ce que vous éprouvez.

 
EH-Phobies

Trois autres bonnes nouvelles

avion-min

Une phobie n’est jamais un rocher

Si son effet est indiscutablement énorme et impressionnant (c’est le principe d’une phobie), sa cause elle, n’a aucune commune mesure avec lui. 

Rappelez-vous qu’un seul grain de poussière suffit à dérégler, voire bloquer la plus belle des horloges. La plus belle des horloges c’est vous, et le grain de poussière, c’est la phobie. Après avoir traité des centaines de cas, je n’ai jamais rencontré d’autres situations que celle-là. 

On coupe le fil et la phobie disparait à jamais

Dans l’immense majorité des cas, une phobie ne tient qu’à un seul fil. On coupe le fil et c’est fini. Terminé. Pour toujours ! 

Bien sûr, quand un phobique lit ceci, il se dit : « cause toujours, on voit bien que ce n’est pas toi qui éprouves ce que j’éprouve »…

Mais c’est justement là qu’il s’agit de ne pas tout confondre. Une phobie a des effets abominables, certes mais ceci ne signifie pas que ces origines soient complexes. Il n’y a qu’un seul fil. On le coupe et c’est fini !

 
 
Man cool-min
Hypnose enfants et adolescents

Une à deux séances suffisent dans la majorité des cas

Ceci découle des deux premières bonnes nouvelles. Comme la cause d’une phobie n’est jamais très lourde et que cette cause ne tient qu’à un seul fil, il n’est pas bien compliqué de l’éliminer. Ce qui fait que l’on peut s’engager sans trop prendre de risque sur le fait qu’une thérapie très brève suffit à résoudre la chose aussi bien pour des enfants que pour des adultes.

Libérez-vous des phobies !